
« Moi, je dis que partager de belles histoires, ça fait du mal à personne ! Moi je dis que les contes urbains et les légendes contrent les idées moroses. Santé ! Parce que quand on est adulte, on ne sait pas toujours pourquoi on pleure… La frustration des rêves enfouis, on la ressent comme une violence à l’intérieur de soi. Alors qu’est-ce qu’on fait, hein ? On fait quoi ? »
Édition : Les cahiers Luxembourgeois
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